|
| Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] | |
| Auteur | Message |
---|
❝ Edwin McLagen ❞ ✉ Messages : 22 ✉ Fiche : Flemme. ✉ Ft : Kyle Gallner. ✉ Classe et/ou emploi : J'suis celui qui t'sauve la vie. Quand t'as un rhume. (Oui ça peut tuer.) ✉ RP(s) en cours : Flemme. ✉ Âge : 25. ✉ Pouvoir(s) : Hippo-dragon. / Chirurgien de génie.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Ven 7 Sep - 21:24 | |
| EDWIN NATHANAËL PENNY MCLAGEN feat. Kyle GallnerC'est l'histoire de paf le chien...❝ Cool. ❞ ✉ Prénom(s) : Edwin Nathanaël & Penny. ✉ Nom : McLagen. ✉ Âge : 25 ans. ✉ Signe astrologique : Poissons, né le 29 février. ✉ Groupe désiré : Habitants de Birdsall. ✉ Emploi/Classe : Médecin à Birdsall. Il tient son cabinet dans une ruelle.
✉ Pouvoir : Métamorphose (Bloquée sur deux créatures) et Qualités en médecine décuplées. ✉ Caractéristiques : Métamorphose : Il aurait pu avoir le choix de sa transformation mais le destin en décida autrement. Ce ne fut que sur deux animaux qu'il le maudit à vie. Quand Edwin a un choc émotionnel violent (ce qui est très rare) il se transforme alors en hippocampe. Oui oui vous avez bien lu. A l'inverse, quand celui se met en colère, quand il est blessé au plus profond de lui et pris d'une révolte folle (ce qui est très rare aussi) , il se transforme alors en dragon. Non pas un dragon énorme de la taille d'une ville crachant des flammes de l'enfer... Mais une créature de 2 mètres de haut, avec des ailes... (Il ne sait pas voler) On va dire que quand Edwin est sous cette forme (ce qui est rare car il en faut pour l'énerver) il devient aussi bête que ses pieds et dénué de raison. Mais cette apparence dangereuse a un effet limité car Edwin a su se contrôler avec le temps. Quand il reprend sa forme humaine, c'est bien évidemment tout nu.
Hippocampe :
- Spoiler:
Dragon :
- Spoiler:
Qualités en médecine décuplées : C'est son pouvoir principal nous dirons. Pas que les autres ne soient pas importants mais ils n'influencent pas sa vie de tous les jours. Par ailleurs, ce don qu'a Edwin provient peut-être du ciel, ou de l'enfer. Enfin .. C'est juste très malsain. C'est juste le roi du scalpel, le dieu du bistouri, il a une connaissance totale en médecine et peut alors étrangement pratiquer toute sorte d'opération. Ce qui est le plus incongru est bien le principe même qu'Edwin n'a alors aucune idée d'ou tout cela lui vient. Quand on est génial, on le vaut bien, et on ferme sa gueule.
✉ Faiblesse : Métamorphose : Quand ça arrive aux mauvais moments, c'est chiant. Depuis la découverte de ses transformations, Edwin est devenu quelqu'un qui demeure sur ses gardes, constamment. Médecine : Quand tu dragues une fille et que tu lui sors : "Mais oui bien sur, je peux vous parler d'un cas de Situs Inversus généralisé... Mon patient avait le creux stomacal enflé et..." tu risques pas de la ramener dans ton pieu. Damned.
✉ Force : Métamorphose : Heureusement, l'effet est limité dans le temps. De plus, Edwin s'est avéré devenir quelqu'un de très zen, très posé, avec le temps et sait alors se maitriser pour ne pas sombrer dans les profondeurs de la colère ou dans le drame d'une surprise choquante. Cependant, si l'on veut voir les points forts de ses métamorphoses... disons que devenir aussi petit qu'un hippocampe, c'est voir le monde de ses 8 cm, c'est voir le monde en grand, se sentir vivant, agonisant sans eau, ça permet de d'éviter d'être retrouvé lors d'une course poursuite... (enfin, bref, c'est être tout mignon et plaire aux filles quoi héhé). Quand au dragon, c'est sur que quand on a des ennemis, un bon coup de feu au cul, ça calme. et puis c'est "cooool". (Notons qu'Edwin n'est pas de cet avis.) Médecine : ça sauve des vies. Quoi de plus beau ?
Il traverse la rue, tout beau...✉ Description physique : ‣ Parfait. ‣ Cheveux en bataille. ‣ Regard mielleux. ‣ Yeux vides d'expression. ‣ Sourire en coin. ‣ Démarche cool et zen. ‣ Sur ses gardes constamment.
✉ Description mentale : ‣ Parfait. ‣ Cool : Il ne se prend pas la tête pour des broutilles et est on va dire, magnanime la plupart du temps. ‣ Zen : Il a self-control presque hors du commun. Il peut contenir peine et douleur, surprise et choc. Et quand il explose, c'est un ravage ou un suicide. ‣ Moqueur : Il n'est pas vaniteux, juste dédaigneux avec ceux qui le sont. Edwin, c'est le genre de mec qui, quand tu le provoques, te regarde avec un petit sourire blasé et hautain en ricanant un "Haha, t'es qu'une merde." et qui s'en va. ‣ Paranoïaque : Son pouvoir incontrôlable se basant sur ses émotions (exacerbées) la rendu totalement psychotique. Il regarde toujours derrière lui, par dessus son épaule, chaque bruit le fait sursauter. Il a également peur du noir. Car ne rien voir signifie le néant, l'oubli. De très mauvais souvenirs... ‣ Très froid, et surtout très secret : Edwin, c'est pas le mec qui parle de sa vie, qui te raconte pourquoi il déprime. Il te sauve, tu paies cher le prix de ta vie, be happy et dégage. ‣ Précis : Ne vous inquiétez pas. Il sait ce qu'il fait. Dans tout ce qu'il fait. ~
✉ Signe particulier : Il a des cicatrices un peu partout. Comme s'il avait été recousu. Glauque ? Pas tant que ça.
Et paf le chien.✉ Histoire : Première Partie ;
Tu es né un 29 février. Évidemment, tu n'en a pas le souvenir. Tu es venu au monde dans tant d'amour, dans tant d’espérance. On te désirait depuis toujours. Edwin, enfant d'une vie, petite chose fragile, dans les bras d'une mère qui pleure de bonheur. Mais sont-ce toujours des larmes de jouissance qui perle sur sa joue? Il ne faut pas secouer un bébé, ces petites créatures sont très sensibles, très fragiles. Trop sensible. Trop fragile. C'est la première fois que tu t'es transformé sous ses yeux qu'elle a crié. C'est depuis cette première fois qu'elle a commencé à te détester.
Tu étais pourtant un enfant comme les autres. Tu chantais d'une voix cristalline, tu aimais courir dans les champs bordant ta maison. D'une malicieuse innocente, tu aimais faire des blagues à tes parents avant d'aller te coucher. Un cache à cache à la vertu, une agaçante frivolité. Elle te fuyait du regard, elle t'ignorait parfois quand tu pleurais. Et quand alors elle te prenait dans ses bras et que tu lui souriais, ses yeux humides s'envolaient dans le ciel... et ses lèvres tremblaient d'amertume et de terreur. Tu as longtemps pensé qu'elle avait peur de toi. A tes cinq ans seulement, tu cru entendre dans la chambre de Papa & Maman.
« – Je ne sais plus quoi faire avec Ed'... Je dois être une mère indigne tu ne crois pas? – Ne dit pas ça chérie. Il faut juste que tu l'acceptes comme il est, tu ne crois pas? – Il n'est … Pas humain … – C'est notre fils. – C'est un monstre. – C'est notre fils... Celui que tu désirais tant. – Non... Je l'ai raté, ce n'est pas possible, je crois que je ne l'aime pas... – Mais... – Je voudrai tant oublier. Tout abandonner, tout recommencer. »
C'est alors qu'elle est parti. Elle t'a abandonné. Face à ta nature, face à l'inconditionnelle réalité. Tu étais son précieux, puis son absès, puis un inconnu. Tu dis l'avoir pardonné mais tu ne l'as jamais supporté. Elle ne te sourirai plus jamais, elle ne te serrerai plus jamais. Pendant 9 mois que tu as habité en elle, aucun souvenir, elle n'en découlera. Alors tu pleures, tu te retournes dans ton lit, tu attends sagement qu'on vienne te jeter dans la rue, tu te replies une dernière fois dans tes draps pour les sentir jusqu'à ce qu'on t'arrache de leurs plis. Tu hurles ta douleur, ton incompréhension, ta détresse. Tu hurles comme un hystérique que Dieu t'offre une nouvelle mère, un véritable amour. Parce qu'on t'a menti Edwin. On t'a fait croire au bonheur, puis rejeté comme une erreur.
« – Edwin. C'est Papa, tu dors ? – Papa... Ou est Maman? – Elle dort dans son lit. – Elle m'a oublié ? – Oui. – Pourquoi? – Pour son bien... Maman n'allait pas très fort, tu comprends? – Et maintenant, elle va mieux? – Oui, elle est très heureuse. – Ah... alors tant mieux ! »
C'était un vendredi non? Ou elle t'a tourné le dos. Tu faisais semblant de sourir pour que ton Papa ne pleure pas. Ta mère était parti voir un homme qui prétendait pouvoir effacer la mémoire des gens. Tu as disparu de sa vie l'espace d'une caresse, d'un simple soupire... et tu souriais. Car c'était déjà assez dur comme ça. Ton père te serra dans ses bras et te susurra à l'oreille.
« – Tu vas aller dans une famille d'accueil. Mais ne t'inquiète pas, on se verra souvent. Je t'aime, ne l'oublies pas d'accord? Tu es fort, tu es un garçon courageux... – Vui.. Maman sera plus heureuse sans moi? – Je... Non... Elle sera heureuse, à partir de maintenant. »
Cette famille t'accueillit le lendemain matin. Pendant que ta mère dormait sous les étoiles du firmament, ton père avait organisé ton départ immédiat. Du haut de tes 1m02, tu regardais cette nouvelle maman d'un oeil furtif... d'un sourire forcé et tu trainais des pieds en t'éloignant de ton ancienne maison. La famille avait été mise au courant de ta particularité, de ton erreur de parcours...
Un peu tard, on apprit alors que tu venais d'avoir un accident terrible. Une voiture tu percutas, à l'hopital, on t'emmena. La salle d'opération était la meilleure solution. Car tu étais vraiment en charpie. Tous le monde te donnait pour mort à vrai dire. La greffe de peau pour la partie du torse fut alors plus délicate. Cela ne pouvait être efficace en évitant une nécrose. La greffe cutanée ne pouvait marcher, il fallait un donneur. On demanda à tes camarades de classe de donner un peu de leur épiderme pour te sauver. Personne ne voulut. C'est alors qu'un enfant accepta, en charge d'un mystérieux docteur. Le problème c'est qu'il était métis. On hésita un peu avant d'opérer, cela pouvait déranger. Mais qu'importe il fallait te sauver.
L'amour. Quelle sensation magnifique. Quelle exaltation fantastique. Quelle pulsion dramatique. Te voilà mélangé, tournicoté, emporté, hypnotisé... fou? Juste fou d'elle. Allons Edwin, tu oses prétendre avoir une chance. Tu es un monstre, tous le monde le sait. Douce agonie. Injuste parcimonie... mais quel âge as-tu déjà? 19 ans? Tant d'années se sont écoulées, envolées, sans que nous ne puissions en parler. Abrégeons, une adolescence pour le moins tourmentée. On te savait doué, enfant prodige. Trop avancé pour être normal. Et bien sur, qui dit talent, dit école. Qui dit école de prestige, dit travail. Ironique vu que tu n'en avais pas besoin.
Eden. Avec elle, tu étais bien. Avec elle, tu te sentais libre, écouté, compris, et peut-être accepté... qui sait? Et un jour, elle s'est approché, furtivement. Ses pas rapproché aussi doux qu'une caresse... et d'une fougue surprenante, elle a emparé tes lèvres, les rendant prisonnières des siennes. Des tes 8 centimètres tu la regardas, de tes prunelles vides de ressenti. Elle sourit, un sourire triste comme Maman. Tu compris que cela ne devait plus jamais se reproduire.
Mais même si tu as pu te venter du bonheur, il se termine également. C'est marrant comme les humains ne peuvent concevoir l'infini. C'est trop grand pour leurs pauvres esprits. Il faut un début et une fin. Le cerveau ne peut supporter une droite infinie dans l'espace. Le cerveau ne peut supporter l'univers. Parlons en de l'univers. Cela résume tout tu ne crois pas, Ed'? L'univers est en continuelle expansion. A force, il explose. Big Bang. Elle ne t'aime plus, elle est distante. C'est le big bang dans la tête. C'est le bordel dans la tête.
Supplice. Eden qui te regarde. Cet homme qui vous regarde. Toi qui regarde cet inconnu. Bientôt, dans quelques minutes, il serait en présence de deux inconnus. Eden se tortillait nerveusement. Les paroles qu'elle eut prononcé plus tôt dans les jours précédents te hantaient, vous hantaient. « J'aimerais mieux tout oublier … mais c'est trop dur... » Même après tout ça, tu la laissais partir... et assistant à son départ comme un enterrement. Bouleversement. La belle s'approcha alors des mains du bourreau, fermant les yeux. Tu la fixait alors de tes pupilles dilatées. Tu soufflais, croyant manquer d'air. Puis elle tendit la main sur le côté, ses doigts tremblant... tu l'attrapa en silence, tu sentais sa paume moite.
« – Tout ira bien. » Et ce fut le néant. C'est ainsi que ce termine cette unique d'histoire d'amour. A quoi bon s'accrocher au vent? A quoi bon retenir ce qui vous file entre les doigts? Tu ne devais pas avoir de chance. Tu ne devais pas être destiné au bonheur. Les études continuaient doucement. La vie aussi. Dans un profond silence.
DEUXIEME PARTIE ;
Tu as 21 ans. Si jeune et déjà si prompt à un avenir tout tracé. Ironiquement, en échange de ton silence, quand ta mère t'a tourné le dos, il t'a alors promis de tout faire pour que tu ai une carrière de médecin toute tracée. C'était si drôle car tu n'avais pas besoin de lui. Non absolument pas. Ton savoir était alors un don. Un scalpel dans les mains et tu es un miracle. Le bistouri entre tes doigts et tu es presque Dieu. Le schéma du corps humain dans ta tête, dans tes songes. Tu connais l'emplacement de chaque artère... les yeux clos.
C'était un vendredi soir non? C'est depuis ce jour que tu détestes les vendredis. Assurément. Tu sortais alors de l'université, empruntant avec lassitude la même rue. Quand alors une personne éveilla ton champ de vision. C'était elle. C'était ta mère, juste devant toi. Tu peux avec aisance reconnaître ces traits, ces longs cheveux bouclés et cette démarche fine et délicate. Ton cœur se serra, tes muscles se contractèrent. Une immense douleur fit alors apparition au creux de ta poitrine. Tu penchas la tête en avant, la sueur perlant ton front, des frissons. Des spasmes. Terreur.
Tu relevas la tête pour ne pas la perdre de vue, courant presque pour te rapprocher furtivement. Pendant quelques rues encore, tu la suivis... observant ses boucles rebondir contre son dos, hypnotisé. Tu te revoyais encore, gamin... tenant sa main avec force. Tu avais envie de la ressaisir, comme avant. Sans te soucier de ton itinéraire, tu t'invita dans le sien. Prenant un peu de distance pour ne pas être repérer, tu te souvins alors tristement qu'elle ne risquait pas de le reconnaître. Elle traversa la rue, et fit tomber son portable. Tu aperçus un camion débouler du carrefour à toute vitesse et fonçant sans ralentir vers le passage piéton. Et tu ne pu te retenir.
« – MAMAAAAAAAAAAAAAAAN ! »
Elle se retourna vers toi en une fraction de seconde, te fixant de ses yeux horrifiés. Dans son regard, il y avait une lueur... C'est comme si pendant ce cours laps de temps, elle t'avait reconnu. Et le camion passa. Et le camion l'écrasa. On hurla. Tu hurlas. Apothéose. Apocalypse.
Tu te rua sur ce qu'il restait de son pauvre corps. Déchiqueté, souillé. Il y avait du sang. Tu le sentais juste sur tes doigts. Tu te mis à pleurer cet immondice de la nature. Tu regrettais celle qui ne te regrettait pas. Tu hurlais ta colère. Les gens, horrifiés, s’agglutinaient pour exprimer leur fausse compassion. Certains vomissaient dans les poubelles. D'autres criaient sans apporter la moindre aide. Tu devenais fou, les larmes troublant ta vision, ta tristesse troublant ton âme. Elle était morte. C'était fini. Avant même d'avoir commencé. Elle était morte... Tu était sûr, elle t'avait reconnu. Pour une infime de seconde, elle avait sourit. Tu te devais de pardonner. Car la mort a emporté avec elle le passé. Criant de désarroi et de rage... ce fut une nouvelle étape.
Tu sentis ta peau te déchirer, ton corps grandir. C'est comme si tu pouvais voir le monde d'un perchoir. Les gens se mirent à courir, paniqué. Certains s'évanouirent... et toi... tu observait, te demandant pourquoi ils avaient peur. De quoi ils avaient peur? Tu ouvris la bouche, qui te paraissant incroyablement lourde... et quand tu voulus parler, il ne sorti de ta bouche qu'un jet de flammes. Tu pris panique. Ton corps était tremblant, étrange. C'était pas la même sensation qu'en hippocampe. Non, cette fois, tu avais l'impression d'être cyclopéen. C'était l'enfer.
Tu finis par te réveiller dans un lit, tu reconnu vaguement la fissure au plafond. C'était ton ancienne chambre. Couvert de bleus, tu te découvris dans la glace. Tu finis par timidement sortir de la pièce, avant de réaliser sauvagement les derniers événements. Pris de panique, tu bouscula alors une jeune fille qui était devant la porte. Tu écarquillas les yeux... Elle ressemblait tellement à Maman... Tu la scrutas.
« – Qui es tu ? – Je suis … Edwin. – Je te connais pas. Pourquoi tu es dans notre maison? – Ou est pa... ton Papa? »
Tu avais compris. Tu ne dis rien de plus. Elle sourit et montra la porte du bureau de son petit doigt. Tu venais de rencontrer ta sœur. Tu toquas alors pour rentrer. L'espace privé de ton père. Celui là était assis sur son fauteuil, un verre de whisky à la main. Ta gorge se noua. Tu tremblais de toute tes forces... De sa voix caverneuse et profonde, il brisa le silence.
« – C'est ta faute. – Pardon? – Si elle est morte. – Mais... Je n'ai rien fait.. – J'ai vu son sang sur tes mains. Edwin. – Je n'ai fait qu'assister à l'accident ! – C'EST TA FAUTE MERDE ! *tu sursautas et baissa les yeux* Tu ne t'approcheras plus de notre famille. Je veux que tu t'en ailles très loin. Il y a une ville qui s'appelle Birdsall, un cabinet sera mit à ta disposition. Félicitations, tu es médecin. Je veux que tu quittes la ville au plus vite. Et jure de ne plus jamais nous approcher, moi et ta sœur. – Je le jure. »
ÉPILOGUE
Tu marches dans les rues désertes d'une ville déserte. Ton coeur c'est le Sahara. Ton coeur, il est vide. Tu marches, sans te soucier de rien, une clope coincée entre les lèvres, un long manteau sur les épaules, en guise de cape. Birdsall ? Étrange contrée. Tant d'images dans la tête. C'est du sang que vous avez dans les veines docteur ? Exilé dans cette ville, Edwin oublie. Oui, le passé a été effacé. Il n'y a plus aucune trace administrative sur ton existence. Et c'est tant mieux. Parce que tout ce qui s'est passé dans cette histoire, si dessus, n'a alors mais alors rien à voir avec le Edwin, de maintenant. C'était juste un songe, oui, juste un rêve... mélancolique et destructeur.
* Edwin se réveille alors en sursaut, la sueur au front. Il se calme alors doucement, ses yeux alors pétillants d'appréhension, recouvrent une lueur glaciale. Il sourit et se lève, les clients ne vont pas tarder à arriver *
IRL✉ Pseudonyme : Le chieur '-' ✉ Âge : 17 ans '-' ✉ Où avez vous connu le forum ? : Ramené de force par Alenor... (elle me torture.) ✉ Code : YES ! Sélou ☼
Dernière édition par Edwin McLagen le Dim 21 Oct - 22:01, édité 10 fois |
| | | ❝ Sélène Utreuil ❞ ✉ Messages : 597 ✉ Fiche : La fiche.
Les liens et sujets.
Le journal intime ✉ Ft : Anna Popplewell ✉ Classe et/ou emploi : Maîtresse du dôme. ✉ RP(s) en cours : Deux. ✉ Âge : 18 ans ✉ Pouvoir(s) : Prémonitions en retrait, Télékinésie hyper développée.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Ven 7 Sep - 22:23 | |
| Oh god. J'ai lu ton début de fiche. Tu vois, genre la description du pouvoir. Et j'étais morte de rire. Mais super morte. Décédée.
Enfin bref.
Voilà un personnage qui promet. Je te souhaite donc bienvenue et bonne continuation pour ta fiche ! ♥
Au passage je valide le code. |
| | | ❝ Pan P. Romanov ❞ ✉ Messages : 69 ✉ Fiche : I know how you don't like normal things
Liens: T'es qui toi? Dégage.
Récap des RPs
✉ Ft : Evan Peters.
✉ Classe et/ou emploi : Assistant Russe - Futur veuf. ✉ RP(s) en cours : 3/7 ✉ Âge : 18 ans| 1904 ✉ Pouvoir(s) : Je connais la date de ta mort, pourquoi ? T’as pas eu le carton d’invitation ?
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Ven 7 Sep - 23:41 | |
| Je vais même aller plus loin que Sélou et dire que lorsque j'ai lu le titre de ta fiche, j'ai éclaté de rire. toi et moi on va bien s'entendre. Paf le chien il est cool! J'adore ton pouvoir, il est aussi utile que celui de Pan et de Mardy! 8) (enfin des gens qui n'ont pas de pouvoir classe de la mort qui tue!) Je me permet de remarquer que tu as une vrai faiblesse à ton pouvoir! Non parce que il y a des gens qui ont comme pouvoir la vision nocturne et qui mettent comme faiblesse "ça marche moins bien le jour". Je ne dirais pas qui *héhum* Bonne chance pour le reste de ta fiche!! Bienvenue sur le forum Au plaisir de te voir sur la CB ou bien simplement de RP avec toi (les deux choix à la fois c'est possible, ça rentre dans mon emploi du temps) |
| | | ❝ Jackson McKeller ❞ ✉ Messages : 99 ✉ Fiche : « The Show must go on » ✉ Ft : Tyson Ritter ✉ Classe et/ou emploi : Directeur de la Troop of Darkness ✉ RP(s) en cours : 0 / 0 ✉ Âge : 28 ans ✉ Pouvoir(s) : Détection des pouvoirs.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Dim 9 Sep - 8:48 | |
| Bonjouuuuur et bienvenue sur Red ♥ J'aime déjà bien le début de ta fiche, le pouvoir est intéressant x) !
Bref, bonne continuation pour la rédaction de ton histoire, au plaisir de lire ta fiche terminée ♥ |
| | | ❝ Lawrence Blackwood ❞ ✉ Messages : 44 ✉ Fiche : Good Morning England !
- Un lien, c'est ici .
✉ Ft : Ryan Gosling ✉ Classe et/ou emploi : Maire ✉ RP(s) en cours : 0 / 0 ✉ Âge : 28 ans ✉ Pouvoir(s) : Inhibition des Dons
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Dim 9 Sep - 19:09 | |
| *µ*... Omg.
Je crois que tout a été dit... Que ton pouvoir nique sa maman, que j'adore les hippopotams (c'est mignoooOOOooon), que Kyle il a une tête de peluche hippie *-*, que... Et que, bordel, j'imagine déjà tout plein de scénarios RPs avec ton personnage ! Mon dieu .__.
BREF, bienvenue sur le forum, bonne chance pour la suite (mais tu en as (surement) pas besoin puisque tu vas tout déchirer), grande hâte de rp avec toi et voilà. ♥ |
| | | ❝ Alenor Stark ❞ ✉ Messages : 114 ✉ Fiche : Alenor Stark ~ Honorable guerrière protectrice ✉ Ft : Kathryn Prescott ✉ Classe et/ou emploi : Terminale / Membre de la Nox Arcana. ✉ RP(s) en cours : 2 / 2 ✉ Âge : 18 ans ✉ Pouvoir(s) : Manipulation de la végétation
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Lun 10 Sep - 18:46 | |
| Graou !! Mon hippodragon que j'aime !!
J'adore la description de ton pouvoir, je m'attendait pas à ça xD Poste vite ton histoire Sinon, je te torture ! Et je sais que tu aimes ça !!
Et je suis pressée de voir quel avatar tu vas nous faire ^^ (Kyle Gallner *w*)
*saute sur Edwin et le serre fort* Mwahaha ! |
| | | ❝ Edwin McLagen ❞ ✉ Messages : 22 ✉ Fiche : Flemme. ✉ Ft : Kyle Gallner. ✉ Classe et/ou emploi : J'suis celui qui t'sauve la vie. Quand t'as un rhume. (Oui ça peut tuer.) ✉ RP(s) en cours : Flemme. ✉ Âge : 25. ✉ Pouvoir(s) : Hippo-dragon. / Chirurgien de génie.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Mar 18 Sep - 21:16 | |
| Merci à tous pour cet accueil ! Je viens vous annoncer que ma fiche est terminée ! En espérant ne pas vous décevoir ... (Pardon pour les fautes éventuelles.) |
| | | ❝ Alaric Stark ❞ ✉ Messages : 431 ✉ Fiche : Noblesse Oblige ✉ Ft : Ben Barnes ✉ Classe et/ou emploi : Cerveau de la Nox Arcana ✉ RP(s) en cours : 4 / 4 ✉ Âge : 19 ✉ Pouvoir(s) : Skotokinésie et Vision dans l'Obscurité
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Mer 19 Sep - 18:20 | |
| Pas grand chose à dire. Je laisse aux autres le plaisir d'élaborer sans avoir à répéter les même choses que moi ^__^
Voici ton vote positif ! |
| | | ❝ Jackson McKeller ❞ ✉ Messages : 99 ✉ Fiche : « The Show must go on » ✉ Ft : Tyson Ritter ✉ Classe et/ou emploi : Directeur de la Troop of Darkness ✉ RP(s) en cours : 0 / 0 ✉ Âge : 28 ans ✉ Pouvoir(s) : Détection des pouvoirs.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Jeu 20 Sep - 19:59 | |
| Bonjoooooour et désolée du retard ! Bref, et bien, j'adore totalement ton histoire ! ** La manière d'écrire et tout, je suis fan Donc je donne mon vote positif, surtout avec le point de la fin qui me fait penser à Misfits *3* |
| | | ❝ Sélène Utreuil ❞ ✉ Messages : 597 ✉ Fiche : La fiche.
Les liens et sujets.
Le journal intime ✉ Ft : Anna Popplewell ✉ Classe et/ou emploi : Maîtresse du dôme. ✉ RP(s) en cours : Deux. ✉ Âge : 18 ans ✉ Pouvoir(s) : Prémonitions en retrait, Télékinésie hyper développée.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Ven 21 Sep - 22:14 | |
| Moi aussi je m'inscruste.
En fait, ton histoire, elle est trop cool.
Et comme je l'avais déjà dit, tes pouvoirs, ils sont... Ahah. xD Je m'en remets toujours pas quoi. xDDDD *Tousse, calme son rire, se tue, se ressuscite et revient*
Je disais donc, ta fiche est trop cool. Je veux un lien avec ton perso. Mais vu que j'ai tendance à répondre aux liens trois plombes après pour dire "baaaah, t'aurais pas une idéééée ? é___è", tu vas me haïr.
N'empêche, que là, sur le coup, t'es obligé de m'aimer, puisque c'est moi qui valide ta fiche officiellement avec mon dernier vote positif ! C'est pas beau ça ?
Allez, file petit dragon hippocampe. *o* |
| | | ❝ Edwin McLagen ❞ ✉ Messages : 22 ✉ Fiche : Flemme. ✉ Ft : Kyle Gallner. ✉ Classe et/ou emploi : J'suis celui qui t'sauve la vie. Quand t'as un rhume. (Oui ça peut tuer.) ✉ RP(s) en cours : Flemme. ✉ Âge : 25. ✉ Pouvoir(s) : Hippo-dragon. / Chirurgien de génie.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] Dim 21 Oct - 22:01 | |
| |
| | | ❝ Contenu sponsorisé ❞ | Sujet: Re: Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] | |
| |
| | | | Je ne te déteste pas, mais si tu brulais et que j'avais un verre d'eau... Je le boirai. [Edwin - Terminé] | |
|
Page 1 sur 1 | | | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |