❝ Eimi Blackburn ❞ ✉ Messages : 13 ✉ Fiche : Fiche
✉ Ft : Utada Hikaru ✉ Classe et/ou emploi : Proxénète ✉ Âge : 17 ans | 1993 ✉ Pouvoir(s) : Matérialisation de la pensée et protection par bouclier dans la limite de mes forces physiques et psychiques
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: First thing's first. I'm Eimi. What do we call you around here? [PNJ] Jeu 21 Juin - 1:50 | |
| Eimi Blackburn feat. Utada HikaruC'est l'histoire d'une pastèque obèse...❝ We don't need no education. We don't need no thought control. ❞ ✉ Prénom(s) : Eimi ✉ Nom : Blackburn ✉ Âge : 17 ans (1993) ✉ Groupe désiré : Killer of shadows ✉ Emploi/Classe : Proxénète, gère la pègre à Birdsall
✉ Pouvoir : Matérialisation de la pensée et protection par bouclier dans la limite de mes forces physiques et psychiques. ✉ Caractéristiques : c'est ce qu'on pourrait appeler de la matérialisation de la pensée : Je peux créer rien qu'à partir de ma pensée, un objet, voir un être, sous forme de bulle légèrement luminescente, une matière étrange qui est solide, quasiment indestructible. Je peux par exemple créer une main pour prendre les objets ou créer une forme comme un animal animé par mes pensées, mais qui bien sûr est éphémère.
Mon pouvoir peut aussi créer des boucliers ou une bulle autour de moi qui peut contrer n'importe quoi, feu comme eau. C'est un pouvoir extrêmement puissant n'ayant que pour limite finalement l'énergie de son possesseur car il puise dans sa force mentale et physique, cela peut donc aller du saignement de nez à l'évanouissement voir le coma. Je peux le contrôler à distance si je visualise le lieu nettement dans ma tête. Il requiert mon entière concentration mais j’ai appris à le contrôler. Malgré sa grande puissance. Je l'utilise le moins possible ✉ Faiblesse : Il marche moins bien la nuit /PAN/ Sérieusement, Mon pouvoir puise dans mes ressources énergiques et il est éphémère. Je ne peux me concentrer que sur ce que je fais de mon pouvoir lorsque je l’active. ✉ Force : Le pouvoir fait la force !
Elle était plutôt ovale et bien verte...✉ Description physique :
‣ Je ne me trouve pas forcément jolie, ni forcément moche. Je suis banale. ‣ Japonaise, les yeux sombres, bridés. ‣Les cheveux noir, naturellement lisse ‣ Je me maquille peu mais je le fais quand même. ‣ Les joues légèrement rose, le visage plat, je fais jeune et innocente, même pour mon âge. ‣ A part ma croix, je ne porte pas de bijoux. Je trouve ça trop superficiel. ‣ Ma voix, elle, est douce, chaleureuse, plutôt aigu. Mes tonalités dans ma voix sont plus japonaises qu’anglais, me donnant un très léger accent. ‣ Jamais de ma vie je n’ai dansé. Je n’en ai pas eu l’occasion. . ‣ J’aime beaucoup le sport, je cours tous les matins ‣ Malgré tout, lorsque je passe devant un miroir, je ne me trouve pas forcément jolie, ni forcément moche. Je suis banale. C’est quand je me vois dans les yeux des gens qui m’aime que je me sens belle. Et ça me fait rougir.
✉ Description mentale :
‣ Je me soucie du regard des autres ‣ J’aime penser que les autres me voient comme quelqu’un de normal, d’aimable. ‣ Pourtant je me sens supérieur… ‣ Je suis plus mature. ‣ Contrairement à plus de la moitié des gens dans cet internat, je suis heureuse. ‣ Je suis hypocrite. ‣ Je suis très susceptible et légèrement perfectionniste. ‣ Je suis chrétienne, je tiens ça de ma mère. ‣ Je suis par contre très bavarde, je parle un peu pour ne rien dire, généralement je regrette ce que je dis, c’est de famille on dirait. ‣ Je possède une très bonne mémoire et ça aussi, c’est de famille ‣ Je rigole facilement, et je suis assez sociable. ‣ J’aime la compagnie des gens. Elle me détend, me satisfait. ‣ Malgré tout, je reste polie avec les gens, sauf si cette personne est dans ma liste noire. Là, elle peut être sûre que sa vie sera un véritable enfer. Qui suspecteront l’ange aux cheveux noir ? De toute évidence, personne. Je suis beaucoup trop intelligente, trop « bonne vivante », trop vive pour eux. Elle menait une vie sans pépins...✉ Histoire : « Elle avait encore bu. Oh bien sûre, elle s’était arrangé pour se faire payer les verres, elle était belle. Belle, jeune et ivre. Elle arpentait les rues, comme à son habitude, cherchant un bar ouvert. Les filles de ce genre, elles n’étaient que peu fréquentés. Elle avait fugué à 16 ans. Crise d’ados. Elle n’a jamais eu le courage de revenir chez elle, de demander pardon à sa mère, de lui demander de rentrer à la maison, de regarder son père dans les yeux et de… Mais qu’est-ce que je raconte, elle n’avait pas de père. C’est ça d’être né d’une prostituée lorsqu’on est un accident. On n’a pas un père, on a deux cents possibilités de pères différents. Elle n’avait même pas prit la peine de le chercher. A vraie dire, elle s’en foutait royalement, du type qui avait baisé sa mère. C’était pas le premier, ce ne serait pas le dernier.
Au coin de la rue, elle bouscula quelqu’un. Un homme imposant, aux épaules carrées, aux yeux bleus, aux cheveux ondulés. Un européen. Elle leva les yeux vers lui, les cheveux devant les yeux. Il s’excusa en anglais. Elle s’excusa de même. Il lui proposa d’aller boire un verre. Un de plus. Elle accepta, qu’avait-elle à perdre ? Ils finirent dans la chambre d’hôtel de l’homme.
Ils passèrent la semaine ensemble, au moins elle avait un endroit où loger puis il était gentil, séduisant. L’homme parfait quoi. Ah non, pardon. L’homme parfait à un détail près : l’anneau qu’il avait au doigt et la photo de sa femme et son fils d’un mois qu’il avait dans son portefeuille. Mais elle s’en fichait. Lorsqu’il reparti, il lui promit de revenir la voir. Elle n’y croyait pas. Il voulut lui donner de l’argent mais elle lui fît remarquer qu’elle n’était pas une prostituée. Et voilà. Il reparti comme il était arrivé. Mais il tint sa promesse. Il la tint pendant un peu plus d’un an. C’est lorsqu’il vit les deux barres sur le test de grossesse qu’elle lui tendait, il décida de fuir. Deux gosses pour lui, c’était trop. L’autre, Seth de son prénom, ne faisait même pas encore ses nuits. Il lui donna un peu d’argent et parti dans la nuit, rejoindre sa femme. Elle hésita à garder l’enfant. A sa place, je n’aurais pas hésité. Lorsqu’on a un enfant qui n’a pas de père, et qu’on a à peine de quoi se payer un logement, on ne peut pas garder un enfant. Mais moi et ma mère, on ne s’est jamais vraiment entendu. Alors, pour me payer un toit, ma mère a dû bosser, sans jamais se prostituer. Sans jamais descendre au même niveau que sa mère.
Elle obtint finalement la location d’un deux pièces dans un quartier plus ou moins commode. Du moins ce que disait l’annonce. C’était un quartier charmant. Des orphelins courants pieds nus dans les rues coursés par le vendeur qui s’était fait voler des oranges. Les yakuzas qui attendait le vendeur au coin de la rue parce qu’il n’avait pas payé sa drogue. Les prostitués qui attendaient les yakuzas pour pouvoir se payer leurs chambres. Leurs chambres qui étaient vandalisé à ce moment même par des adolescents en mal d’amour, cherchant de l’argent pour pouvoir se payer les oranges du marchants qui ne reviendrait pas si tôt. Ah, quel beau quartier calme et tranquille ! Je pourrais vous en raconter pendant des heures, des anecdotes de ce genre. Dans mon enfance, c’était la routine.
Elle s’installa donc dans cette maison délabrée, trouvant de quoi la remplir avec ses petites paies. Parfois, dans la rue, elle trouvait des meubles. Alors elle les trainait jusque chez nous. Pour moi. Pour que je puisse manger sur une table. C’est d’ailleurs sur cette table que je suis née. La voisine étant infirmière, elle a aidé ma mère. Non seulement durant la grossesse mais aussi pendant ma jeunesse. C’est vrai que ma mère n’était pas très douée. Elle n’était pas très maternelle non plus. Enfin. C’était une mère quand même. Je ne vous raconterais pas mon passé. Il n’est que peu intéressant. Il est violent. Le quartier tout entier était contrôlé par les yakuzas, dont l’appartement. L’école où j’allais était mal fréquentée, j’étais seule. Pourquoi ? A cause de mon nom occidental. Comme si, soudainement, je n’étais pas japonaise. Comme si, soudainement, je n’étais plus parmi eux mais à côté. Mais je souriais de mon éternel sourire hypocrite. Et j’aidais les gens qui en avaient besoin. Peut-être un peu par narcissisme. Parce que je me sentais supérieur. Peut-être par empathie. Je n’en sais rien. J’ai grandi sous les menaces. J’ai appris à me défendre. Avec ma mère qui était toujours au travail, j’ai appris à ne pas ouvrir à la porte, à être autodidacte, à être autonome. Parfois pour payer le loyer, pour payer les yakuzas qui nous menaçaient, on ne mangeait pas pendant plusieurs jours. Parfois, j’étais tenté. Tenté par le vol. Mais si ma mère m’a bien appris une chose, c’était de ne jamais transgresser les règles. C’est vrai qu’elle avait une morale, ma mère. Pas mal de principes. Elle m’aimait. A sa façon, mais elle m’aimait. Elle me parlait parfois de mon père. Elle me disait qu’il était beau. Intelligent. Drôle. Qu’il était gentil. Elle me parlait de mon demi-frère. Mon grand frère. J’écoutais avec ferveur ses récits. Elle ne l’avait jamais vu. Mais il ressemblait à son père sur les photos. Un jour, je ne sais plus lequel, ma mère est rentrée plus tôt du travail. Elle n’ira plus là-bas. La boite avait fermé, licenciant tous les employés. Malgré son jeune âge, elle était fatiguée, elle semblait vieille. Elle avait perdu sa beauté. Mais elle avait toujours se rayon d’optimisme qui éclairait ses yeux. Dommage, l’optimisme ne suffisait pas. Les yakuzas ont fini par perdre patience. Il voulait leurs argents. Ils ont fait plus que frapper à la porte. Ils l’ont carrément défoncé. Ma mère m’a caché sous le lit. Ils sont entré en gueulant, je ne comprenais pas ce qu’ils disaient. Pourtant je parlais aussi bien l’anglais que le japonais. Mais leurs voix se superposaient et je ne comprenais plus rien. J’entendais l’un d’eux jeter ma mère contre un mur. J’entendais ma mère crier. Pleurer. C’est à ce moment que j’ai fermé les yeux et que j’ai couvertes mes oreilles de mes mains. Dieu sait ce qu’ils ont fait à ma mère en plus de la tuer. Je suis resté là plus d’une heure, dans la même position, sans oser bouger, sans oser respirer ni pleurer. Lorsque je sentis quelqu’un me toucher l’épaule, je sursautai, me cognant la tête contre le lit. C’était notre voisin. Il me sorti or de la pièce et m’emmena chez lui. Il essaya de me cacher la scène mais je pu apercevoir derrière la porte entre ouverte du salon, les jambes nus de ma mère baignant dans son sang. Je fus recueilli par mes deux voisins pendant quelques mois. J’ai reçu cette lettre, une inscription à ce pensionnat en Angleterre avec un billet d’avion et des papiers. Au départ je ne voulais pas y aller. Mais mes voisins avaient l’air tellement heureux. Comme une aubaine pour moi : j’allais pouvoir quitter ce trou et retrouver mon frère et mon père là-bas en Angleterre. Je n’ai pas pu refuser. Le sourire sur leur visage était si expressif que j’y suis allé. Je suis parti, j’ai retrouvé la trace de mon père grâce à mon nom de famille. Il est mort. Lui et sa femme, un massacre. Lorsque j’ai sur ça, je suis venu vous voir. Je prends le train pour me rendre à Rédemption demain mais avant ça, je dois le retrouver ! Alors c’est pour ça, monsieur le commissaire, que je vous demande : Savez-vous seulement si mon frère, Seth Blackburn as survécu ? »
Je regardais l’homme devant moi qui tapotait sur son clavier, le front plissé. Mes sourcils froncés, je ne savais pas s’il avait compris un mot de ce que j’avais dit. Il lut un texte sur son écran puis tourna la tête vers moi, les yeux brillants par la pitié sans doute.
« Mademoiselle, je suis désolé. Aucun Seth Blackburn n’est enregistré dans nos fichiers. »
~ C’était une belle gare, une petite gare mais une belle gare ! J’étais venu ici parce que je n’avais rien à faire à Londres mais je n’avais pas l’intention de m’inscrire à un internat pour personnes qui se sentent différentes parce qu’ils ont un pouvoir. Ces gens-là sont comme les autres. Je ne compte pas me mêler à eux. Je lançais des regards aux habitants de Birdsall qui marchaient tranquillement devant la gare. Ces gens avaient l’air trop paisible. Un peu de piment dans cette ville ne serait pas de trop. Je souris en imaginant un quartier rouge ici dans ce village perdu. Un quartier rouge et des coffee shop.
« Mademoiselle Blackburn ? »
Je me retournais. Un femme brune se tenait derrière moi. Je penchais la tête.
« oui ? »
« Je savais que vous alliez venir. Je vous attendais. »
Mais en vrai, c'était... Un melon !✉ Où avez vous connu le forum ? : PNJ ✉ Code : AH NAN. ✉ PNJ : Eimi gère la pègre de Birdsall. Petit galopin, croyais-tu pouvoir te sortir d'affaire sans passer par Eimi? Bien sûr que non. Eimi protège ses employés, et si tu ne travailles pas pour elle, alors attention aux gardiens du dôme. Elle dirige non seulement la pègre mais les prostitués, les réseaux de drogues... Bref, cette jeune petite fille est le mal de Birdsall, elle à la main sur la criminalité, la petite frappe et les charlatans. Si vous travaillez dans le réseau sans la connaitre, elle vous connait bien. Envoyez un MP pour avoir un lien avec elle. Elle peut intervenir ou influencer vos personnages dans leurs métier
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