❝ Joanna A. Monroe ❞ ✉ Messages : 26 ✉ Fiche : miss matter, you had her, now she's goin' away. ✉ Ft : nina dobrev. ✉ Classe et/ou emploi : rien, plus rien. ✉ RP(s) en cours : 0/2 ✉ Âge : dix-huit ans. ✉ Pouvoir(s) : force surhumaine.
~ Qui es-tu ? Relations :: | Sujet: Miss nothing, miss everything ♠ JOANNA. Sam 19 Mai - 18:02 | |
| Joanna Amethyste Nirvana Monroe feat. Nina DobrevC'est l'histoire d'une pastèque obèse...❝ The Queen of Broken Hearts is the hardest to kill. ❞ ✉ Prénoms : Joanna, Amethyste, Nirvana. ✉ Nom : Monroe. ✉ Âge : 18 ans (27 avril 1992 à Chattanooga). ✉ Signe astrologique : Taureau ascendant Sagittaire. ✉ Groupe désiré : « Killers of Shadow ». ✉ Emploi/Classe : infiltrée à Rédemption en tant que terminale.
✉ Pouvoir : force surhumaine. ✉ Caractéristiques : il semble que le pouvoir ne soit pas compliqué à décrire, mais puisque vous insistez... Joanna a tout simplement une force hors du commun, ce qui ne se voit pas vraiment sur son physique, son corps mince voire trop mince, mais qui risque fortement de vous surprendre si vous la titillez un peu trop – d’autant plus qu’elle s’enflamme vite... Sa force réside particulièrement dans ses bras, lui permettant de soulever des charges normalement impossibles à soulever par exemple, de briser la nuque de quelqu’un, etc. Évidemment, si elle vous donne un coup de pied, là-aussi vous allez le sentir. ✉ Faiblesse : toutefois, ce pouvoir tient plus d’actions brèves. Joanna est incapable de soulever un camion pendant plus de cinq minutes, par exemple. Elle ne peut pas non plus déraciner un arbre pour vous le lancer dessus, car ça lui prendrait beaucoup de temps, et à moins que vous soyez à des kilomètres d’elle... Ce sont ces actions prolongées qui la fatiguent, alors qu’habituellement elle ne ressent rien. Aussi, elle perd radicalement de sa force lorsqu’elle est prise par les émotions – pour peu que ça puisse à arriver. Si elle perd confiance en elle, si elle perd le contrôle de la situation, sa force surhumaine diminue... Ainsi évite-elle de ressentir quoi que ce soit, histoire de ne pas se faire « stupidement » avoir. ✉ Force : corps à corps, Joanna peut être très dangereuse. Si elle vous attrape avec sa poigne de fer, il y a peu de chance que vous réussissiez à vous échapper d’elle. De toute façon, elle aura vite fait de vous briser la nuque d’un coup sec, ou de vous transpercer le sternum dans un coup de poing pour vous arracher le cœur. Disons que son pouvoir agit « sur le coup », en quelques secondes, d’une brièveté exceptionnelle, comme un serpent fondant sur sa proie sinon plus rapide. De plus, elle tire sa force de son calme olympien, de sa confiance en elle à toute épreuve, alors autant dire qu’elle est heureuse d’être comme elle est.
Elle était plutôt ovale et bien verte...✉ Description physique : ‣ se fait remarquer par son allure sombre et menaçante, typique des gens sûrs d’eux, puisqu’elle n’est pas spécialement imposante avec son mètre soixante-huit et sa taille de guêpe. ‣ il ne faut pas se fier à son visage angélique, à son beau sourire et à ses grands yeux de biche. ‣ sa chevelure longue, épaisse, brun foncé, naturellement ondulée fait sa fierté et elle fait tout un tas de coiffures différentes. ‣ a en permanence la peau halée. ‣ elle vénère les chaussures à talons et porte très souvent du noir, des perfecto, des vêtements moulants...
✉ Description mentale : ‣ prédatrice, faussement innocente, manipulatrice de première : si elle veut obtenir quelque chose, elle l’obtiendra, et tous les moyens sont bons. ‣ ses qualités – intelligence, ruse, élégance, autonomie, franchise, endurance, patience, etc. – ne s’adressent qu’à elle ; jamais elle ne les mettra à profit de quelqu’un d’autre. ‣ aime jouer mais n’aime pas perdre. ‣ capricieuse et par conséquent violente et dangereuse, c’est une véritable garce qui ne fait pas de cadeaux. ‣ semble ne pas avoir d’émotions et ne jamais avoir peur, même si en réalité elle sait juste très bien se contrôler.
✉ Signe particulier : à part le fait qu’elle soit droitière et AB négatif, elle garde toujours sur elle une broche de moins de 5 centimètres – un petit scorpion dans un cercle d’argent – qui appartenait avant à sa mère.
Elle menait une vie sans pépins... Novembre 2008. THERE WAS THIS BOY WHO TORE MY HEART IN TWO. I HAD TO LAY HIM EIGHT FEET UNDERGROUND.
« Tu croyais qu’on se joue de moi aussi facilement ? » Elle pencha la tête sur le côté, les sourcils froncés, lui crachant ses questions au visage. « Tu croyais vraiment ? » Elle s’approcha, menaçante, et lui assena un nouveau coup de pied dans les côtes. Les os craquèrent. Elle l’attrapa ensuite par la gorge et le remit sur ses pieds, comme si elle soulevait un pantin désarticulé. Un sourire étira le coin de ses lèvres en voyant la forme atroce qu’avait pris le bras du jeune homme. Elle l’attira à elle, toujours aussi souriante. « Alors... Réponds-moi ! » Comme s’il pouvait, avec sa mâchoire brisée. Le sourire amusé de la jeune fille se transforma en rictus sadique. Elle le repoussa violemment ; il heurta le mur dans un gémissement. « Franchement... Comment as-tu pu ? Comment as-tu pu oser faire ça ? À moi ! À la fille qui t’aime plus que tout ! Tu me déçois... » Il était incapable de répondre... Il était incapable de respirer correctement, ses côtes cassées le faisant souffrir à chaque inspiration. Mais elle n’en avait strictement rien à faire. À nouveau, elle le rejoignit à grands pas et s’accroupit à côté de lui. Elle lui prit doucement le visage, caressant sa joue, et murmura d’un air faussement navré. « Je t’ai vu. Avant-hier, tu sais... Je t’ai vu avec cette autre fille... T’avais l’air de prendre ton pied, c’est bien. » Elle s’approcha alors de lui, un peu plus, de sorte à être presque entièrement penchée sur lui. « On ne la fait pas à moi... On ne me fait pas ça... » Elle le releva un peu, brusquement, ne faisant pas dans la douceur, voulant voir son visage ensanglanté. Son sourire sadique avait disparu, faisant place à un visage plein de colère. Elle détestait qu’on se moque d’elle, elle détestait qu’on se joue d’elle. Tout devait être fait à sa façon, et elle n’acceptait ni qu’on triche ni qu’on ne respecte pas les règles imposées. Lui, son petit-ami depuis un an, avait eu l’excellente idée de coucher avec une autre, et elle les avait surpris ensemble... Haineuse, elle se remit debout, l’entraînant avec elle. Elle haussa un sourcil, toujours ce même air de prédatrice, cet air menaçant, cet air meurtrier, sur ses jolis traits. « Je t’aimais... Mais ça... Non. » Elle releva le menton d’un air fier, et lui assena un coup de poing à l’emplacement du cœur. Sa main traversa littéralement la peau, les os, et s’agrippa au cœur du jeune homme. Elle fixa le garçon, alors que ses yeux se retournaient et qu’il émettait un dernier son de douleur, puis le laissa tomber sur le sol.
Avril 2009. YOU DON'T HAVE TO PUT ON THAT RED LIGHT. YOU DON'T HAVE TO WEAR THAT DRESS TONIGHT.
Elle se leva, remettant une de ses mèches bouclées derrière son oreille, et jusqu’alors nue enfila son peignoir de soie rouge, le faisant glisser sur ses épaules. Elle le noua à sa taille et se tourna vers son client, qui se rhabillait lui aussi. Encore un client... Comme chaque soir. Sauf le dimanche, son jour de congé. Il fallait bien qu’elle gagne un peu d’argent. Sa mère avait perdu son boulot il y a peu de temps et son père avait foutu le camp, réclamant justement beaucoup d’argent. Quel salaud était-il... Joanna n’avait rien trouvé pour se remplir les poches, jusqu’au soir où elle les avait vues, novembre dernier, attendant sur le trottoir dans des tenues provocantes... Elle avait ensuite rejoint la clique, devenant d’ailleurs une des prostituées de luxe, à tel point que même son patron s’offrait ses faveurs... Elle n’avait rien à faire de sa dignité : elle avait choisi de faire ce boulot, peu importe le regard des autres. Sa mère n’était pas au courant et de toute façon, elle était trop dépressive, trop affalée dans son lit ou dans le canapé devant la télé, pour s’intéresser à ce que faisait sa fille le soir. Cette dernière fit un pas vers son client. Il avait été gentil, lui... La plupart du temps, ses clients étaient des brutes, de gros pervers aux tendances qu’elle n’appréciait guère. Mais elle s’y pliait ; tout était bon pour avoir un pourboire. « Quel âge as-tu ? Tu sembles bien jeune... » Elle pencha la tête sur le côté et lui fit un petit sourire espiègle. « Je ne veux pas que vous sachiez mon âge... Je veux juste mon argent. » Elle le fixa intensément, de ses grandes prunelles chocolat. Il dût se résigner à lui fourrer des billets dans les mains, et elle le remercia avec ce même sourire enjôleur et faussement innocent. Alors qu’il s’apprêtait à passer la porte de la chambre, elle lança en haussant les sourcils. « J’ai dix-sept ans, au fait. » Dix-sept ans, et elle couchait avec des hommes qui pourraient être son père... Le client de ce soir, lui, devait avoir la trentaine, trente-cinq ans, tout au plus. Elle faisait parfois des choses horribles, des pratiques horribles, pour satisfaire les désirs les plus fous de ses clients, même si elle tenait à son indépendance et avait les règles de son propre jeu. Elle vendait son corps, elle vendait tout. Mais au moins, elle gagnait de l’argent pour subvenir à ses besoins. L’instinct de survie, parfois, était plus fort que la dignité, plus fort que le reste...
Octobre 2009. BOY, YOU CAN'T RUN, YOU CAN'T HIDE FROM ME I'M A KILLER.
Il n’y avait rien à la télévision. Il n’y avait plus rien à lire ; elle avait fait le tour de la bibliothèque une bonne dizaine de fois maintenant. Elle n’avait pas envie de dormir... Elle n’avait strictement rien à faire, à part peut-être dessiner, écrire... En fait, elle s’ennuyait. Or, elle détestait s’ennuyer. Tout comme elle détestait zapper sans trouver de bonne chaîne. Alors seulement, elle eut une illumination : elle monta le son de la radio, et commença à danser, ce qu’elle adorait faire. Elle dansait depuis un petit moment déjà, un short et un tee-shirt en guise de pyjama, jetant ses cheveux ondulés sur ses épaules, bougeant, sautillant, se déhanchant, un grand sourire aux lèvres, s’éclatant, lorsque la sonnette de l’entrée raisonna par-dessus la musique. Coupée en plein délire, elle éteignit la radio et trottina vers la porte, l’ouvrant à la volée... et se paralysant d’amblée. Il était là... Il les avait trouvées... Il se tenait juste là d’un air désinvolte, une odeur d’alcool dans son haleine comme d’habitude. Elle resta un long moment interdite, son cœur bondissant dans sa poitrine... Mais elle n’y montrait rien, gardant un air glacial envers celui qui prétendait être son père. « Désolée, je ne suis pas intéressée. » Elle voulut refermer la porte, mais il la bloqua. Ce qu’elle ne comprit pas, puisqu’elle était censée avoir une force surnaturelle, comme elle l’avait découvert il y a un bout de temps. C’était quoi ce délire ?! Comment son père pouvait rivaliser avec ça ? Non... En fait, elle avait l’impression d’avoir perdu cette force incroyable qu’elle possédait. Et mince ! Il était peut-être temps de commencer à paniquer. Elle ouvrit la bouche, reculant lorsqu’il entra dans le hall et referma la porte. Elle le détestait. Il n’avait jamais été là pour elle, et il était violent, et souvent saoul. Il n’était pas son père, pour elle. Il s’avança dans le couloir, tandis que la demoiselle reculait prudemment à chacun de ses pas : si elle n’était plus aussi forte qu’avant, pas question de se mettre en danger. Elle entra dans la première pièce qui vint, c’est-à-dire la cuisine, et il la suivit. « Qu’est-ce que tu veux ? » Il écarta légèrement les bras avec un sourire hypocrite. « Je veux seulement mon argent. Celui que ta mère me doit depuis un assez long moment. D’ailleurs, où est-elle ? » Joanna fronça des sourcils. Il était hors de question qu’il aille voir sa femme. Il était hors de question qu’il lui fasse du mal. Mais surtout, Joan savait éperdument que sa mère était très influençable de nature, alors droguée, shootée et dans les vapes... Ce fut sur un ton froid qu’elle répondit le plus naturellement du monde : « Elle n’est pas là. » Elle lui décocha un petit sourire, totalement faux bien sûr, et avança sagement vers la table de travail, où étaient posés les couteaux. Son père était trop occupé à observer la pièce lorsqu’elle s’empara d’un des couteaux de cuisine. Ou du moins, il faisait semblant de s’intéresser à autre chose qu’elle, car il réagit au quart de tour lorsqu’elle s’empara de cette arme improvisée. Il se tourna vers elle, voulant attraper son poignet. Elle passa rapidement sous son bras, mais il l’attrapa par les cheveux pour la ramener vers lui. Elle fronça des sourcils, de douleur, se retrouvant piégée. Son instinct de survie la poussait toutefois à agir le plus vite possible pour sauver sa peau, ainsi se retourna-t-elle violemment, levant son bras, la pointe du couteau vers son père. Tel un serpent, il attrapa son poignet, le serrant pour la faire lâcher prise... Elle avait connu pire que ça, et elle ne lâcha aucunement son arme du moment. Il était hors de question qu’elle abandonne déjà ! Les lèvres pincées, elle donna un coup de genou dans les parties sensibles de son père, ce qui eut un effet immédiat : il la relâcha et se plia en deux. Le temps d’une seconde, peut-être plusieurs, elle sentit à nouveau la puissance qui l’habitait habituellement et elle n’hésita pas : elle attrapa son père par la nuque, le retourna, le plaqua face contre le comptoir, lui écrasant la joue. Ayant toutefois recouvert de sa douleur, et ayant alors retrouvé son don qui consistait à inhiber les pouvoirs des autres, il releva la tête. Un cri échappa à la jeune femme, qui leva à nouveau son couteau... et qui l’abattit violemment sur les doigts de son paternel. Là, il hurla, et elle eut un sourire en se demandant pourquoi : était-ce la douleur, le sang, ou le fait de voir ses doigts se détacher de sa main ? À nouveau, il perdit son don le plus précieux sous la douleur, et elle en profita. Elle l’attrapa par le cou, le détachant du meuble. « C’est bête, hm ? Le jeu s’arrête ici pour toi. J’ai gagné ! » Elle le fit tourner sur lui-même, maintenant sa tête à l’aide de son bras, ses doigts repliés sur la mâchoire de son père... et elle déroula. La nuque de l’homme suivit le mouvement dans un craquement sinistre, et comme un an auparavant, elle laissa tomber le corps inerte à ses pieds. Elle eut un petit ricanement de victoire, puis attrapa des dollars et les jeta sur son père. « Le voilà, ton argent. »
Janvier 2010. I CAN'T GO TO PIGFARTS. IT'S ON MARS !
Rédemption. C’était donc ça ? Le gouvernement américain, pour qui elle travaillait – l’organisation des Killers of Shadow, littéralement Tueurs d’Ombre, plus exactement – l’envoyait dans ce petit village paumé anglais pour qu’elle s’infiltre dans le centre Rédemption et, en quelque sorte, l’étudie, lui, son personnel et ses élèves ? D’accord, pourquoi pas. Elle n’allait pas refuser. Cela lui permettrait de voyager, de quitta la ville de Chattanooga, au Tennessee, pour se retrouver quelque part en Grande-Bretagne, mais aussi de quitter sa mère. Certes, cette dernière avait besoin d’elle pour l’argent, pour les vivres, tout le reste... Mais elle allait devoir se débrouiller seule. Joanna s’était bien débrouillée seule, de son enfance à maintenant ! Ca n’avait pas toujours été ainsi pourtant... Avant que son père ne quitte la maison après avoir sombré dans l’alcool et la violence, avant que sa mère en fasse une dépression et se shoote aux médicaments, les Monroe étaient une famille aimante et normale, le type de famille américaine. Joan se souvenait bien de cette époque, qui avait duré jusqu’à ses huit ans. Son père était alors gestionnaire de stocks dans une fabrique de papier, avant de perdre son boulot. Sa mère, elle, était secrétaire d’un hôpital, jusqu’il y a quelques années. Les deux parents aimaient leur fille, leur petit bout de chou. Petit bout de chou manipulateur, qui faisait les yeux doux aux adultes et qui savait exactement comment obtenir ce qu’elle voulait. Une enfant capricieuse, pourrie-gâtée, jusqu’à ce que la famille s’effondre, jusqu’à ce que l’argent sorte plus vite qu’il ne rentre... Bien sûr, elle était restée capricieuse et toujours amoureuse du luxe, mais elle s’était adaptée. Elle n’avait pas eu le choix, à vrai dire. En tout cas, à cette époque où tout était rose, hé bien... tout était rose. Joanna, déjà très sportive, pratiquait le volley-ball, la gymnastique et le tennis, en plus de tout ce qu’elle faisait à l’école. Elle aimait faire du théâtre, prendre des photos, dessiner, changer, délirer comme tout ceux de son âge... Mais ce qu’elle adorait faire par-dessus tout, c’était l’aromathérapie. Sa mère était une fervente passionnée des plantes, des fleurs, et transmettait ce don à sa fille. C’était son domaine, c’était leur domaine... Cette époque, néanmoins, était terminée. Joanna ne se faisait plus de faux espoirs... Jamais elle ne retrouverait la femme qui avait été là pour elle, cette femme pétillante, douce, protectrice et toujours là pour sa famille, cette femme qui offrait des cadeaux, cette femme généreuse, altruiste, celle qui préférait se lancer dans de nombreuses œuvres caritatives plutôt que de rester chez elle à ne rien faire. Joanna jetait l’éponge : la drogue ne s’en irait jamais pour de bon de l’organisme de sa mère. Elle était entrée sournoisement, comme ça... pour ne pas ressortir. Leur famille était brisée. Une mère droguée, un père décédé, et leur fille devenue une meurtrière, une espèce de monstre à la force surnaturelle. Psychopathe... Sociopathe... Dérangée... Et fière. Fière d’être ce qu’elle était, fière d’aider le gouvernement américain, fière d’être une meurtrière. Sans remords... Sans raisons... Un monstre conscient de ses actes et qui n’en avait rien à faire. Strictement rien...
Mais en vrai, c'était... Un melon !✉ Pseudonyme : Elo, ou Elow, c’est à peu près pareil. ✉ Âge : bientôt seize ans ! ✉ Où avez vous connu le forum ? : j’y étais, j’y suis revenue, tadaa. ✉ Code : il paraît qu’il est déjà validé. (a)
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