Samaël Balsey

Samaël Balsey

« L'ami est un complice qui nous aide à nous emparer du monde. »

Personnalité :Tyler Posey

Nom : Balsey
Prénom : Samaël
Sexe : [ ] ♀ - [•] ♂
Âge : 16 ans
Pays, ville natale : Angleterre, Ipswich.
Pouvoir(s) : Empathie et Cryokinésie.
Connaissance de son pouvoir : [•] OUI - [ ] NON (Seulement l'empathie si bien sur, vous le considérez comme un pouvoir.)
Classe/Groupe : Seconde, Pensionnaire.
Liens déjà existants : Aucun lien pour l'instant.
Qualités : (3 !) Réfléchit, Protecteur et Impartial.
Défauts : (3 !) Provocateur, Entêté et Farceur.
Signe(s) particulier(s) : Tatouage sur l'avant bras gauche: " There's always one reason but this is far from over "

Tell me what's going on in your mind...
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- Psychologie -

Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. On pourrait croire que j’ai un caractère d’enfant gâté. Un caractère d’enfant roi à qui l’on ne peut rien refuser. Pourtant, je suis plutôt loin de se que les gens peuvent penser ou voir. J’obéis à mes propres lois, à mes propres principes de vies. Je sais qui je suis et d’où je viens et rien ne changeras cela. Je ne suis pas le plus hautain des hommes mais j’aime que l’on me montre un tant soit peu de respect comme toute personne normal, du moins, je crois. Mon éducation est ainsi faite. A la limite de la règle, je pourrais même me qualifier de provoquant. J’adore piqué là où ça fait mal. Le simple fait de voir les autres exploser rend ma journée soudainement plus joyeuse. J’aime répliquer se qui me passe par la tête. Je ne vais pas m’empêcher de dire tout haut se que le bas peuple pense tout bas. Je connais tout de même la limite à ne pas franchir. Il y a limite à la provocation et il faut savoir s’arrêter avant le coup de grâce. Il n’y a aucun plaisir à frapper un homme déjà à terre. Apprendre est le meilleur moyen de savoir dans quel monde l’on vit. L’important n’est pas où tu vas mais bien d’où tu viens. Il ne faut jamais oublier se qui nous sommes. Je crois que toute personne peut changer, mais elle reviendra toujours à la source. On m’a appris à connaître avant d’agir. Je ne suis pas du genre à tout calculer a la seconde près mais je déteste être dans l’ignorance ou dans l’erreur. On peut pardonner une erreur bien qu’elle soit difficile à surmonter par la suite mais, l’ignorance rend l’homme aigris et misérable devant le fait accompli. J’ai beaucoup trop à faire pour perdre mon temps avec tout cela. La vie est suffisamment courte, pourquoi la gâché avec de mauvais moments. Pour être totalement franc, je préfère, la majorité du temps, un bon livre plutôt que la présence humaine. Le livre, lui, ne peut pas se jouer de toi. Je dis franchement et fort se que j’ai à dire. Hors de question de parler en mal des gens dans leur dos. Rien n’est plus impoli que faire des cachotteries aux yeux des gens. Si se que j’ai à te dire ne te plait pas, passe ton chemin. Je n’ai pas de temps à perdre avec ce genre de personne. Dans le pire des cas, si tu as quelque chose à me dire, fait le en face et ne passe pas par quatre chemin ou par des intérimaires. Tu risquerais de te retrouver du mauvais côté de la ligne. Être direct peu être une qualité et un défaut. Dans mon cas, c’est à vous de voir. Je sais que parfois, le silence est d’or, mais vaut mieux une vérité crue qu’un mensonge couvert d’un voile de satin. La vie ne donne jamais rien pour rien. C’est l’une des règles que je suis. Le mensonge ne sert jamais, il finit toujours par vous revenir en plein visage le moment où vous vous y attendrez le moins. Je dois avouer, je ne suis pas le plus patient des hommes. On me dit souvent que la patience est une vertu. Je me fais alors une joie de répondre que la patience est peut-être une vertu, mais une vertu que je ne possède pas. Je dois avouer que j’ai ma limite comme tout le monde. J’ai une certaine patience tout dépendant le sujet. Pour les enfantillages, chamailleries et autres idioties de ce genre, ma patience est inexistante. Je peux, par contre, prendre le temps d’écouter les reflux du cœur humain sans trop de problème. Malheureusement, je ne préfère pas montrer cette partie de mon être. À chacun son mystère. Contrairement à la croyance populaire, je n’aime pas réellement parler de moi. Je préfère de loin apprendre à connaître et ensuite de dévoilé. C’est se qui fait que généralement, je passe pour l’homme mystérieux que personne ne connait. Dans une classe, je suis généralement celui assis au fond qui ne parle jamais. Je parais froid aux premiers abords mais, je suis loin du compte. Il ne faut pas se fier aux apparences mais plutôt aux faits. De même que les racontars mais ça, c’est une toute autre histoire.

What you see when you look in the mirror ?
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- Physique -
Je ne sais jamais par où commencer lorsqu’il s’agit de me décrire. Non pas que je n’ai pas les mots pour le faire seulement, la vision de chacun est différente. Commençons! Tout d’abord, j’ai les cheveux plutôt courts d’un brun chocolat quelconque. J’ai quelques petites mèches rebelles qui préfèrent bouclés. Pour être totalement franc, ils me donnent du fil à retordre. Donc, la majorité du temps, je ne me donne pas la peine des placés. Ensuite, j’ai les yeux de la même couleur que mes cheveux. Légèrement en amande et j’ai la peau vaguement basané de par mes origines. Je ne suis n’y trop grand n’y trop petit, je suis dans la moyenne. Je ne suis pas le plus beau des Apollon, mais j’adore courir et cela transparait. J’ai un petit tatouage, près de l’épaule gauche, sur le torse représentant le prénom de ma petite sœur. À première vue, je n’ai rien de bien particulier, je suis comme tous les garçons de mon âge. La différence est dans mon caractère.

The past influences the present, who are you ?
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- Histoire -Une jeune femme fût transportée d’urgence à l’hôpital le plus proche. La future mère, avec prêt d’un mois d’avance sur sa grossesse, n’avait pas pu attendre son époux. Le soleil avait à peine montré ses premiers rayons que la jeune mère avait commencé ces douloureuses contractions. Une fois installer dans une chambre, on lui annonça de se calmer, que tout cela ne fût qu’une fausse alarme. Le médecin lui recommanda de rester à l’hôpital plus être prêt à intervenir en cas d’urgence plus prononcé. C’était un jeune médecin. Il ne devait pas avoir beaucoup d’année de pratique. Sa voix tremblait comme une feuille à l’automne, une feuille qui ignore quand elle va craquée. La jeune mère pleure à chaudes larmes. Elle ne veut pas perdre son enfant. Je peux la comprendre. Elle avait tenté de si nombreuses fois d’avoir un enfant à elle. Je ne vois pas réellement le temps qui passe et, je ne peux pas distinguer le jour de la nuit. Pour moi, s’est toujours la nuit. J’entends chanter quelques fois, des rires et encore des cris de peur ou de colère. Lorsque j’entends tout cela, je tremble. Je tremble de bonheur ou de peur. J’ignore encore comment réagir, on ne m’as rien apprit. Cette jeune femme, elle a une si jolie voix, elle m’aide à m’endormir. Finalement, j’entends qu’on doit lui faire une batterie de test pour voir si tout va bien. Combien de temps s’est écoulé? Quelques jours? Quelques semaines? Le médecin, toujours celui avec la voix tremblante, annonce que tout va bien, que tout s’est remis en place et que bientôt, elle pourra serrer son enfant dans ses bras. Je peux sentir son cœur battre la chamade tellement elle est heureuse. Je me suis encore endormi avec sa jolie voix. Soudainement, je me sens pousser vers la sortie. J’ai peur. Et si le monde que la jeune femme m’avait décrit n’avait rien à voir avec la réaliser et si je n’aimais pas mes parents? Qu’ils soient violents avec moi. J’ai peur et s’est mon tour a tremblé comme une feuille d’automne. Je ne veux pas partir, je veux rester où je suis. Je suis en sécurité ici et au chaud. Je n’ai peur de rien. Je suis mon propre héros dans mon propre monde. Je fais tout se que je peux pour ne pas partir. J’entends des pleurs et des cris. J’attends cette future mère suppliée pour que tout se passe bien. J’ignore depuis combien de temps je me retiens. Pour moi, cela fait très longtemps et, je sens la fatigue montée en moi. J’ai envie de dormir, de fermer les yeux. Finalement, je n’en peux plus. Je ferme doucement les yeux et me laisse aller n’ayant plus envie de me battre. Soudainement, je n’entends plus rien. Je n’ai n’y chaud n’y froid. Je ne ressens plus la peur. Je suis bien maintenant. La jeune femme pleure alors que son époux lui tient la main et retient les larmes qu’il sent monter à ses yeux. Il veut être fort pour son épouse mais, lui aussi éprouve de la tristesse. Il regarde leur enfant, allonge sur une table. Cet enfant, il ne respire plus. Il n’aura eu pas même une minute de vie avant de voir celle-ci lui filer entre les doigts. J’ignore combien de minutes passa mais, je sentis une soudainement vague de froid. Les sons recommencent à revenir à mes oreilles. Je sens quelque chose de doux toucher mon corps. Deux mains chaudes me tiennent mais, je ne reconnais pas sa voix. Cette femme ou peut-être cet homme me dépose sur le dos et s’éloigne. Je suis seul, entourer de pleur et de cris sans comprendre se qui arrive. Où suis-je? Est-ce que j’ai fais quelque chose de mal? Je pose beaucoup de questions mais, personne ne me répond. À force de cris et de pleurs, je m’endors seul. J’aimerais tant entendre de nouveau la jolie voix. Lorsque j’ouvre finalement les yeux, une femme me regarde avec un grand sourire. Elle me prend dans ses bras et ferme la porte derrière elle. Là où je suis, il y a pleins d’odeurs bizarres. Ces odeurs, je ne l’aie connais pas. L’infirmière me dépose soudainement dans les bras d’une autre femme. Lorsqu’elle ouvre finalement la bouche pour me saluer, je reconnais sa voix. J’ignore se qu’elle me dit mais, tout semble si tendre avec elle. Je ne veux plus la quitter. Je veux qu’elle reste avec pour encore longtemps. Je suis heureux. La jeune femme me garde prêt d’elle et me chante de jolies berceuses. Je l’aime bien après tout. Elle est tellement gentille avec moi. Je suis tout petit et je ne sais pas encore comment me défendre dans ce monde. Pour l’instant, je ne fais la différence avec rien. La seule chose que je reconnais, s’était sa voix. Elle est unique. Cet enfant qui a vu le jour et a connu la mort en si peu de temps, c’est moi. Je naquis dans un petit hôpital miteux. Ma naissance fut douloureuse et longue. Elle causa de la joie et de la tristesse. Je ne suis pas différent des autres, je suis comme vous tous. Certains diront un héritage de malheur d’autres, que se n’ait qu’une malédiction. Pour moi, ils sont normaux mais, je suis encore petit. Plus tard, je comprendrai. Du moins, je l’espère bien.

P.S. : J’ignore comment se sont rencontré mes parents et je ne suis pas certain de vouloir le savoir non plus.

Parce qu’il faut bien commencer un jour ou l’autre et que plus rapidement tu le fais et mieux s’est. J’ai l’impression de parler d’un pansement. Bref, on s’en moque un peu, beaucoup. Je ne garde pas nécessairement de beaux souvenirs de mon enfance. Je vous fais une petite mise en contexte question de ne pas vous perdre en cours de route. Je suis né dans le quartier gothique d'Ipswich, un quartier plutôt pauvre.

« Opératrice » Unité 63, on signale des coups de feu au 152 C. Templaris. Des renforts sont en route.
« Police » Reçu centrale, 152 C. Templaris. On est en route.

Je ne me souviens pas de beaucoup des choses de ce soir là. On mit au arrêt un homme d’à peine vingt ans armé d’un pistolet et d’une femme âgé de dix-ans, drogué au point tel qu’elle ne comprenait pas se qui s’était passé. Je n’avais à peine que trois mois lorsque cela se produisit. Depuis le début de la scène, je criais et pleurais. Mon père avait craqué lorsque j’avais commencé à pleurer parce que j’avais faim. Il avait poursuivit son manège en menaçant ma mère de son arme et en l’injuriant de tout les sobriquets possibles. Quelques minutes plus tard, j’entendis des coups de feu se qui redoubla mes pleurs. Maintenant, je n’avais plus que faim, mais j’avais aussi peur sans réellement savoir pourquoi. Peu de temps après, j’entendais des pas et des cris encore plus forts et plus soudain plus rien. Je ne pouvais plus m’arrêter de pleurer tellement j’avais peur. Puis, les voix reprirent et je pouvais sentir qu’ils se rapprochaient de moi. Les policiers m’ont retrouvé dans un panier à lessive remplis de couvertures. On me plaça dans un orphelinat pour garçons le lendemain matin.

Les ursulines s’occupèrent très bien de moi durant le peu de temps où je restai avec eux. Il y avait beaucoup de futurs parents qui venaient visiter l’orphelinat seulement, je ne devais pas être le genre d’enfant que l’on recherche. Je fêtai mon premier anniversaire avec les ursulines, l’une d’entre elle, fit mon maigre bagage pour partir avec ma nouvelle famille. Ils étaient très gentils avec moi et prenaient grand soin de mon petit être. D’un coup, j’étais passé du quartier pauvre ou quartier le plus riche d'Ipswich. On peut sortit un homme de son quartier, mais pas le quartier de l'homme.

Je n’ai aucuns souvenirs de mon ancienne vie et je ne tiens pas non plus à m’en souvenir. Mes nouveaux parents sont tout ce qui compte pour moi, ils sont mes vrais parents. Je ne vais pas vous en raconter plus sur leur sujet puisque l’histoire ne les concerne pas réellement. Heureusement pour moi que je ne suis pas rester avec eux. Les pauvres, ils n’auraient jamais su quoi faire avec moi.

Nous voilà maintenant en seconde, encore deux petites années pour ensuite sortir de cette école. Je sais que je ne suis pas le véritable fils des Balsey, ils m’ont déjà tout raconté. J’ignore encore se que je veux faire en sortant, mais je sais qu’il est hors de question de raté ma vie comme mes parents biologique. En avant la musique et que l’aventure se poursuive.

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Behind the screen hides a soul ...
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○ Prénom/Pseudo : F
○ Comment as-tu connu le forum ? : En discutant avec une amie.
○ Expérience de RP : Près de 9 ans.
○ Présence : Absent les weekends et présence moyenne durant la semaine.
○ Code : [~~MAX]

Ohohoh ! Encore un nouveau ! :D

(Double Prem's) Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuu ! :D

Au plaisir de RP avec toi, & j'espère que tu seras vite validé ( & tu le seras ) !

Bonjour / Bonsoir
Et bienvenue parmi nous ! ♥
Ta fiche me semble correcte ! Et pour cela je te valide,

Seulement j'aimerai juste que tu nous précise avant la personnalité choisie pour ton avatar. Ce serait bien que tu la mettes sur le champs afin que l'on puisse te réserver cette personnalité étant donné que tes avatars ne me permettent justement pas de l'identifier.

Mais dés que tu aura fait ça, n'hésite pas à aller demander une chambre [ Ici ] ou à t'inscrire dans un club [ Ici ] si ça t’intéresse !

Bonjour,

J'aimerais tout d'abord te remercier d'avoir prit le temps de lire ma fiche de présentation.
Suite à votre questionnement, la personnalité est Tyler Posey.

Je réserve la chambre le plus rapidement possible.

Au plaisir,

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